Indécis

Il cherche ses lèvres.
Passionnément, elle lui rends son baiser. La cadence de leur baisers s'intensifie, faisant monter leur envie l'une de l'autre.
Le repousse gentiment et plonge son regard dans le sien.
Les sentiments qu'elle éprouve envers Wal ne l'effraient plus.

Elle profite de cet instants pour se concentrer, faisant appel a toute ses faculté.
Un éclair zébra le ciel suivis du grondement du tonnerre.
Un vent violent s'éleva soudainement.

La nature se déchaine.

Regarde le ciel.

Je me passerai de ce spectacle a moins de ne pas avoir a le subir.

Il restait encore une barrière a franchir avant d'aller plus loin, et qui n'étais pas des moindres. Comment lui dire qu'il serais le premier...
Une goutte de pluie tombe sur son visage, ruissèle comme une larme qui descend de l'oeil jusqu’à la commissure des lèvres et meurt en s'étalant

Laissa tomber la couverture qui étais désormais trempé et d'aucune utilité, prit la main que lui tendais Wal, sa voix se perdais dans le vent .
Elle avais déchaine la puissance des éléments, la tempête devenais ouragan.
Elle n'avais jamais atteint cette puissance de concentration, son état d'âme a ce moment la y étais pour quelque chose.
Mais ne faisait que retarder l'échéance a ce qui semblais être inévitable.

Trempé et transi de froid elle marchait dans la foret se laissant guider.
Elle n'aurais pas remarqué le passage si il n'aurais pas poussé les racine.
La lumière de la pierre lui permis de voir les les parois de la grotte recouvert d'un biofilm bactérien.

Des cavernicoles doivent peupler la grotte et surement des chauves-souris. Si on les effrayes on va y avoir droit.

Elle sentais son regard et risqua un coup d'oeil dans sa direction. A
l'expression de son visage elle en déduit qu'il devais se poser pas mal
de questions et chercher les réponse.

Si il savais lire dans les pensées il ne ferais pas cette tête.

Son regard changea, a présent il la regardais mais différemment, sa
robe trempée lui collais comme une deuxième peau, mais quelque chose le
tracassait encore.
Puis son regard s'illumina et il la pris dans ses bras.

"Cette tempête....c'était vous n'est-ce pas..."

Sans un mot elle souleva l' émeraude et de l'autre main elle dessinais des
cercle autour faisant ainsi tourner l'air autour, une petite trompe
d'air s'était formé et grandissait a vue d'oeil bientôt ils étais
enveloppée dans le courant d'air chaud généré par la pierre.
Arrêta le mouvement stoppant la croissance du flux d'air.
Elle ne tremblais plu et leur habit étais presque sec.

Je peut contrôler les éléments et les associer si besoin est avec des objet comme l'émeraude, déplacer les objets...il me faut qu'un regard pour lire sur un visage comme un livre ouvert. Vous m'avez déjà comparez a d'autres femme une en particulier elle a été très importante pour vous....Cette aptitude a crée une barrière entre moi et les hommes, aucun n'a été digne d'intérêt ...jusqu'à présent.

La proximité de Waldorf lui empêchait de garder la tête froide.

Attendre ? attendre quoi ?

Dans l’hémisphère gauche de son cerveau il n'y avais jamais eut de place pour les sentiments, émotions ou désirs et voila que son coeur n'en faisait qu'à sa tête.
Fallait juste accorder cette dualité et laisser son coeur
s’exprimer dans la sensibilité, l’impulsivité, l’intuition.

Plongea son regard troublé dans le sien un regard plein d'envie, de passion de désir mais surtout...d'amour.
L'attira vers elle car elle ressentait au plus profond d'elle-même la volonté d'offrir ce qu'elle avait de plus précieux à l'homme de sa vie.

Fébrilement ses mains découvrent son corps par-dessus le tissus de la chemise pendant que sa bouche doucement vient chercher ses lèvres qui se donnent sans renom.
La douceur de sa bouche a la sienne enflamme ses pensées endormies.
Et puis tout va plus vite comme si le diable avait envahi leur deux corps,ensemble ils se déchainent, se collant l'un a l'autre, faisant ressentir cette chaleur que leur peaux dégagent si divinement, effluves de l'amour qui capturent leur sens, les sens de la volupté qui éclatent sous leur doigts a chaque caresse donnée, trace de douceur et d'excitation a chaque sillon du corps.
L'un a l'autre, leur mains, leur bouches cherchent avidement la caresse qui laissera échapper un gémissement, un léger cri, une certitude de victoire au plaisir offert mutuellement. Dans cette parade a l'amour leurs corps se gorgent de désir, fruits murs, ils seront dégustés comme des gourmandises exquises.