*Suite à quelques agissements peu louables et à l’humiliation sentimentale qu’avait fait subir Kilbane au cœur fier de Gwenwyfar, les Prêtres des Déesses avaient décidé de tourner le dos à leurs alliés de toujours, les NightBlades.
Elaborant une stratégie peu subtile, mais animés d’un désir de vengeance jubilatoire, ils attaquèrent Ynos. Débauha pouvait être fière de ses troupes ; avançant sans cesse, repoussant les contres-attaques d’une défense bien trop faible. Ils étaient aux portes du château, dernier rempart d’une victoire courue d’avance… Et pourtant… Les Dieux déchaînèrent les éléments ; des éclairs frappèrent les assaillants, un cratère se forma autour du château, la pluie éteignit la flamme qui embrasait leurs cœurs. Ils durent battre en retraite, fuir un ennemi qu’ils ne pouvaient voir.
Ainsi, ces dieux qu’ils n’avaient pas choisis, les avaient privé de leur Liberté, leur volonté de vengeance avait été réduit à néant par ces dieux liberticides, leur ôtant leur nature humaine… leur libre arbitre…
Les Prêtres s’étaient repliés. Themis, avec l’aide de Gwenwyfar et de Sasashi, avait invoqué une bâtisse impalpable, dont seule l’auberge était accessible aux païens. Revea n’étant plus des plus accueillant, il avait fallut trouvé plus stable… et plus sécurisant.
La générale avait alors réunit le Haut Conseil, après des débats plus que houleux entre les partisans de sa proposition et l'opposition menée par Gwenwyfar, la décision avait été prise.
Elredel navait jamais aimé Gwenwyfar bien que sa loyauté envers les déesses fut sans faille, son ton hautain ses airs supérieurs et sa fierté jouaient contre elle. Qui plus est il ne devait pas être facile pour cette nobliaute de se soumettre aux ordres d'une roturière toute générale qu'elle soit mais elle respectait néanmoins la hiérarchie.
Après avoir sellé sa jument Thémis monta derrière Elredel, durant tout le voyage ils ne parlèrent que de Gwenwyfar et des difficultés qu'ils avaient eu à faire admettre ce qu'ils s'apprêtaient à faire. La fière magicienne avait finalement du s'incliner faute de partisans ralliés à sa cause. Elle avait du admettre qu’il valait mieux mettre de côté les différents qu’elle avait avec Waldorf, plutôt que de laisser Kilbane sans tirer à si bon compte.
Hormis ces deux là, les relations qu’entretenaient les deux guildes restaient courtoises, Elredel comme Themis ayant quelques amis exilés, et vice versa. Quelques points les opposaient cependant, notamment au niveau de la politique des guildes. Les prêtres avaient longtemps compté sur quelques alliances de circonstances avec des guildes sans idéaux, protégeant leurs intérêts. Désormais, ils avaient fait le tri, privilégiant les relations fortes aux bouts de papier sans valeur.
Ils arrivaient aux portent de Kaamelot. Elredel descendit en premier pour aider sa fiancée ; un baiser furtif, et se présentèrent aux portes du château.*
Elaborant une stratégie peu subtile, mais animés d’un désir de vengeance jubilatoire, ils attaquèrent Ynos. Débauha pouvait être fière de ses troupes ; avançant sans cesse, repoussant les contres-attaques d’une défense bien trop faible. Ils étaient aux portes du château, dernier rempart d’une victoire courue d’avance… Et pourtant… Les Dieux déchaînèrent les éléments ; des éclairs frappèrent les assaillants, un cratère se forma autour du château, la pluie éteignit la flamme qui embrasait leurs cœurs. Ils durent battre en retraite, fuir un ennemi qu’ils ne pouvaient voir.
Ainsi, ces dieux qu’ils n’avaient pas choisis, les avaient privé de leur Liberté, leur volonté de vengeance avait été réduit à néant par ces dieux liberticides, leur ôtant leur nature humaine… leur libre arbitre…
Les Prêtres s’étaient repliés. Themis, avec l’aide de Gwenwyfar et de Sasashi, avait invoqué une bâtisse impalpable, dont seule l’auberge était accessible aux païens. Revea n’étant plus des plus accueillant, il avait fallut trouvé plus stable… et plus sécurisant.
La générale avait alors réunit le Haut Conseil, après des débats plus que houleux entre les partisans de sa proposition et l'opposition menée par Gwenwyfar, la décision avait été prise.
Elredel navait jamais aimé Gwenwyfar bien que sa loyauté envers les déesses fut sans faille, son ton hautain ses airs supérieurs et sa fierté jouaient contre elle. Qui plus est il ne devait pas être facile pour cette nobliaute de se soumettre aux ordres d'une roturière toute générale qu'elle soit mais elle respectait néanmoins la hiérarchie.
Après avoir sellé sa jument Thémis monta derrière Elredel, durant tout le voyage ils ne parlèrent que de Gwenwyfar et des difficultés qu'ils avaient eu à faire admettre ce qu'ils s'apprêtaient à faire. La fière magicienne avait finalement du s'incliner faute de partisans ralliés à sa cause. Elle avait du admettre qu’il valait mieux mettre de côté les différents qu’elle avait avec Waldorf, plutôt que de laisser Kilbane sans tirer à si bon compte.
Hormis ces deux là, les relations qu’entretenaient les deux guildes restaient courtoises, Elredel comme Themis ayant quelques amis exilés, et vice versa. Quelques points les opposaient cependant, notamment au niveau de la politique des guildes. Les prêtres avaient longtemps compté sur quelques alliances de circonstances avec des guildes sans idéaux, protégeant leurs intérêts. Désormais, ils avaient fait le tri, privilégiant les relations fortes aux bouts de papier sans valeur.
Ils arrivaient aux portent de Kaamelot. Elredel descendit en premier pour aider sa fiancée ; un baiser furtif, et se présentèrent aux portes du château.*