Indécis

Ce matin là elle suivit une simple impulsion, le besoin de s'éloigner de rester seule.
Le sentiment de défaite et d'impuissance la submergeait.
Marcher lui aurais fait le plus grand biens.
Après une rapide toilette elle parti, laissant derrière elle les obligations du a son rang.
Elle marchait depuis des heures insouciante du temps, de sa destination finale.
Gravit une colline et s'arrêta pour reprendre son souffle et admirer le paysage qui s'offrait a elle.
Au loin se détachait la ville de Gena et le château de Ynos.
Elle aurais pu si rendre, partagé entre l'envie de revoir Waldorf et le besoin de s'isoler du monde.
L'endroit étais calme et a découvert, elle ne risquais pas de se faire surprendre par un importun, et décida de rester la.
Puis s'assit au pied d'un arbre, pour faire le vide en elle, et se couper ainsi de ce monde.

Lors de la grande bataille, celle où les exilés avaient décidé de ne plus être des vagabonds et de s'octroyer un
abri, Rhomi était tombés à demi mort au pied d'un arbre millénaire, il avait été touché par la sérénité du lieu et l'arbre lui avait
redonné force et motivation.
Depuis il partait chaque soir ce ressourcer auprès de celui-ci.

Pourtant ce soir la, lorsqu'il se rendit sur les lieux, il y trouva une demoiselle, celle ci semblait endormie et profitait manifestement du calme ambiant. Rhomi était très partagé entre l'envi de faire déguerpir la personne ou la tuer. Il s'approcha sans bruit et reconnu la personne.

Grrr Lucrezzia, si je la touche y'en a qui vont pas être content.

Rhomi s'éloigna sans faire de bruit et retourna au château.

Dites les gars, c'est bien gentil de faire les diplomates mais la moindre des choses c'est de ne pas laissé les invités dehors, alors si l'un vous peux faire rentrer la nana qui skate mon arbre, il serait sympa. Si on manque de place je veux bien laisser ma chambre, mais je ne veux plus voir personne roder la bas.

non mais.

Rhomi partit aux écuries s'occuper des dragons pour ce calmer en attendant.



HRP: Bisou Lucrezzia

La terre...l' explosion...l'instant après, l'air incendié balayant toute la surface ...hurlements... corps à l'agonie...images macabre...l'enfer....et encore le silence.

Elle se réveilla en sursaut.Le sang lui martelant les tempes.
Balaya de sa mémoire les images du passé qui la hantais depuis des années, et regarda aux alentour.

Elle tournais le dos au château a présent, profitant ainsi du coucher du soleil. Mais le temps passait et n'ayant pris aucune provision elle se résigna a partir.

HRP: Biz Rhomi

Reconnu immédiatement sa voix, et la première question que lui traversa l'esprit fut:

Quesqu'il fait là ? Puis: Il lit dans les pensée?

Lui fait face, le regard interrogateur.

Vous attendez quelqu'un ? Je ne pense pas que vous vous étés chargé comme ça pour vous seul. Je vais donc vous laisser profiter de ce spectacle, j' allais justement partir.

Rhomi? Je n'ai vu personne, je me suis endormi.

Si le matin elle étais partagé entre l'envie de le revoir et de rester seule ce soir elle étais comblé, elle étais seule ... avec lui.

Et de l'eau vous en avez, je meur de soif.
Hee! Bonsoir.

Décidément il lui faisait perdre tout ses moyens.
Elle avais côtoyé des homme , mais aucun n'avais éveille son intérêt. Ni la perturbais a ce point. Mieux valais garder les distances tans qu'elle n'arriverais pas a se maitriser.

Ne partez pas, se sera un plaisir d'admirer le coucher du soleil, de toute façon je n'ai pas d'endroit ou aller.

Sa soif etanché, elle s'assit.

Il y a de quoi tenir un siège.

Replia ses jambe mis ses bras autour.

L'idée de dormir dans lit confortable certes, mais ne sentais pas prête a rencontrer qui que ce soit. Ni se sentir obligé de gouter a la boisson locale par pure convenance, et sourit quand il affirma qu'elle serais en sécurité.
Leur mur abritaient des assassin notoires.

Non vous ne m'ennuyez pas, et puis l'un n'empêche pas l'autre on peut regarder et discuter.
Et si vous me parliez un peu de vous ? J'avoue être intriguez par vos coutumes.

Elle prit un des toast qu'il lui proposa, le regarda distraitement et le garda dans la main.
Elle écoutais son récit gardant pour elle ses réflection ne voulant pas l'interrompre. Emiettant distraitement le toast en regardant l'horizon.

Se retourna pour regarder la pierre. La lueur lui rappela un lac du même nom, le lac d'émeraude. La nuit illumine par la lune le lac reflettait cette même lueur verte.

Comment pouvais t-il croire que ce qu'il vivais étais a parts, le libre
arbitre étais partout. Chaque homme , chaque femme choisissait sa destinée. Libre de choisir un clan un mode de vie plutôt qu'un autre, ou de servir une cause. Il n'étais pas rare non plus que dans le même
clan se cottuayes des bon et des mauvais. Seule différence dans leur mode de vie il n'avaient pas un guide, mais semblais former une chaine dont chaque maillon avais son importance, les un lié au autres uni pour une seule cause l'entraide.
Dans sa réflection elle avait perdu le fil du récit de Waldorf. Elle le vit porter un toast a des amis visiblement absents.
Se sermonna interieurement. Puis dirigea toute son attention sur Waldorf qui lui tendais un verre.
Elle allais le prendre quand elle se rendit compte, qu'il lui restait encore une infime partie du toast, et regarda ou étais passe le reste .
Puis tendit le peu qui lui restait a Waldorf.

Désole pour le gachi mais je suis végétarienne. Je ne vous l'avais pas dit.

Elle prit un fruit et croqua a pleine dent, se donnant le temps de
rassembler le peu de souvenir qui restait encré dans sa mémoire.

Mes souvenir démarrent après ce que je crois une explosion.j'étais seule et me dirigé vers un village.
L'air irrespirable et une chaleur d'enfer.
Dans le village tout avais brulée, dans les rue des corps calcinée. Je l'ai traversé sans m'arrêter, je ne pouvais rien faire, que des mort.
C'est de l'autre coté en sortant du village que j'ai vu deux jeunes filles. Elles avais l'air aussi perdue que moi mais physiquement elle n'avaient pas de séquelle visible. Je leur ai tendu les main, elle sont venu vers moi et on est partie ensemble.
Il nous a fallu plusieurs jours avant qu'on se décide a parler. Néanmoins a aucun moment elle ont manifesté l'envie de partir, et nous avons passe plusieurs années ensemble.Très différentes l'une de l'autre nous nous complétions.
Nos chemin se sont séparé le jours ou j'ai rejoint la confrérie des Arcanes. Un groupe de mage qui ouvrais pour le bien,. J' apprenais vite et me retrouvais bientôt à la tête de se groupe. Mais être le guide me prenais tout mon temps.
Tara m'avais rejoint entre temps, et comme elle avais plus l'étoffe pour diriger, je lui confiais la guilde après l'avoir fusionne avec les Deahu & Debauha.

Je pense avoir effacé tout ce qui étais pénible de ma mémoire. Qui je suis, de ou je viens, plus rien.

La nuit allais tomber, mais même le fait d'être une cible potentielle, ne la motivais pas a partir.
Elle ne put s'empêcher de rire quand Waldorf alluma la petite lanterne.

La cible idéale pour les insecte...

Sa bonne humeur faisait surface et ce n'étais certainement pas l'odeur du tabac qui allais la lui faire passer.

Non elle ne m'incommode pas.

Regarde distraitement les ronds de fumée.

Si je pouvais arrêter le temps ce serais la.

Mais en mettant la couverture sur ses jambes elle pris conscience de la fraicheur de la nuit.
Son regard se pose sur le guerrier quand il lui propose une balade dans les air.
Des frisson de froid parcoururent son corps et l'idée de se blottir contre lui n'est pas pour lui déplaire.

Excellente idée, il m'arrive aussi de me déplacer sur mon dragon et
j'avoue que certain endroit sont a couper le souffle quand on les
regarde d'en haut.
Et si on laisse choisir la destination a Antares ?

Quoi de plus naturel que de rechercher la compagnie de ses semblables.

Froid oui, je ne pensais pas passer la nuit ici.
En fait je ne pensais a rien en partant ce matin, et s'est par hasard que je me suis arrête ici.

Approche la main de la pierre puis le regarde attendent son approbation avant de la toucher .
Mais se ravise et se retourne regardant a nouveau l'horizon.

Cette pierre a une grande valeur pour lui , et si c'était la mienne je ne laisserais personne poser la main dessus.

Il vaudrais mieux éteindre la lanterne avant d'attirer l'attention , trop engourdi par le froid pour affronter qui que ce soit.

Encore une fois elle changeais de conversation pour ne pas laisser gambader librement son esprit, le lieux étais propice a le laisser gambader très loin.

Un simple geste suffirais a effacer cette journée de sa mémoire et
Waldorf avec mais ce qu'elle ressentais étais plus fort qu'une simple
attraction physique.

Inutile de nier l'évidence si il lui demanderais elle le suivrait au bout du monde.

Mais peut être qu'il.....

Ferme les yeux et chasse les doutes

Il n'y a que l'instant présent qui compte, demain ...c'est un autre jour.

Et comme la chrysalide au stade ultime de la métamorphose il est temps pour elle de quitter son cocon.

Elle ouvre les yeux et est déjà face a lui, ses main on glisse sur son
dos, plus qu'un pas...pose sa tête sur son torse et laisse courir ses
doigt a travers le pan de sa chemise terminant leur course a la naissance de sa gorge.

Une caresse en entrainant une autre, ce sont ses mains maintenant qui partent à la découverte de son corps, des mains qui cherchent a lui arracher un soupir un gémissement de plaisir, et elle dois avouer qu'ils parviennent à leur but aisément.
Sa main caresse sa peau , elle est arrêtée par la sienne.
Le désir monte et sous son effet, elle se cambre un peu plus, comme une invitation à son égard. Invitation qu'il accepte sans se faire prier.
Ses sens sont de plus en plus en éveil.
Elle se love contre faisant de lui un rempart contre l'agression du froid de la nuit.